Organisé tous les 4 ans, le Congrès belge de la Route est le rendez-vous incontournable du monde de la route en Belgique. Gestionnaires de voiries et de réseaux, entrepreneurs, bureaux d’études, fournisseurs, centres de recherches, administrations et institutions publiques... tous les professionnels du secteur routier seront présents pour échanger innovations et bonnes pratiques sur des thèmes tels que l’Innovation & la Digitalisation, la Durabilité, la Sécurité et l’Asset Management.
Nouvelles technologies dans le domaine de la construction routière (capteurs intelligents, robotique, BIM, digibaromètre, opportunités de subside à l'innovation, etc.), dans le domaine de la mobilité (conduite automatisée connectée, micromobilité, etc.) et des données (données pour les ITS, Big Data, infrastructure numérique, IA, etc.)
Une combinaison de systèmes informatiques intelligents, de l'Internet des objets et de l'Internet des systèmes rend possible la 4e révolution industrielle (Industry 4.0). Grâce aux machines intelligentes, connectées numériquement les unes aux autres et accédant à une quantité croissante de données, usines et industries deviennent plus efficaces, plus productives et plus économes. La construction routière n’échappe pas à cette nouvelle évolution numérique.
Comment innover en construction routière (les processus qui fonctionnent) ?
Quelques succès d'innovation en construction routière.
Aperçu des mécanismes d'aide à l'innovation en Belgique.
Beaucoup pensent que l'efficacité et la productivité du secteur de la construction n'ont pas encore atteint leur véritable potentiel. Grâce à la robotique avancée, les processus existants peuvent être optimisés ou remplacés. De nouvelles technologies, qui contribuent à façonner l'avenir du secteur de la construction, sont actuellement développées et mises en œuvre. Une alternative à la robotique plus avancée consiste à automatiser les équipements traditionnels de travaux routiers afin qu'ils puissent travailler de manière autonome ou avec leurs homologues humains. Les cobots, ou robots collaboratifs, pourraient être une solution dont le secteur de la construction a besoin maintenant.
De nos jours, capteurs et instrumentations sont des forces centrales d'innovation, non seulement pour Industrie 4.0 mais aussi pour d'autres tendances majeures "intelligentes" comme production intelligente, mobilité intelligente, maisons intelligentes, ville intelligente et usine intelligente. Capteurs intelligents génèrent des données et en combinaison avec communication sans fil ils permettent auto-surveillance, auto-configuration ou le suivi de l'état d'infrastuctures ou des processus complexes. De l'infrastructure routière est équipé avec des capteurs dédiés pour une surveillance de leur condition, données venu d'équipement sensoriel existant est visualisé dans des modeles 3D, réseaux de capteurs simples sont installés avec le consentement des citoyens dans leurs maisons à côté des routes.
Les véhicules et les smartphones sont de plus en plus utilisés comme des capteurs qui génèrent des données sur la situation actuelle du trafic. Ces données peuvent contribuer à la visualisation de la situation actuelle du trafic et révéler des problèmes (potentiels) de sécurité routière, de flux ou d'impact environnemental. Divers systèmes et services ITS peuvent utiliser ces données et les informations qui en découlent pour atténuer ces problèmes (potentiels). Ces services génèrent à leur tour des données. La session se concentre sur l'écosystème des données et des ITS et sur les applications et/ou partenariats ITS (innovants) qui peuvent en découler.
A côté de l'infrastructure physique des routes, les gestionnaires de voiries et les fournisseurs de services sont confrontés à la numérisation croissante de l'infrastructure routière. Cette infrastructure digitale n'est pas seulement une copie de l'infrastructure physique mais réclame de nouvelles contraintes tout en amenant de nouvelles opportunités. La connectivité le long des routes sera nécessaire pour connecter les véhicules avec l'infrastructure, et inversement pour permettre la conduite autonome. Cette session adressera un regard sur divers aspects de digitalisation et de connectivité.
A côté de l'infrastructure physique des routes, les gestionnaires de voiries et les fournisseurs de services sont confrontés à la numérisation croissante de l'infrastructure routière. Cette infrastructure digitale n'est pas seulement une copie de l'infrastructure physique mais réclame de nouvelles contraintes tout en amenant de nouvelles opportunités. La connectivité le long des routes sera nécessaire pour connecter les véhicules avec l'infrastructure, et inversement pour permettre la conduite autonome. Cette session adressera un regard sur divers aspects de digitalisation et de connectivité.
Ces dernières années, de nouveaux modes de déplacement sont apparus (notamment les trottinettes électriques ou d'autres formes de micromobilité, partagée ou non). Leur usage est en constante augmentation. On verra dans quelles mesures les infrastructures doivent s’adapter, que ce soit pour la circulation ou le stationnement. Les infrastructures technologiques, comme les outils de gestion de la micromobilité partagée pour les autorités locales, seront aussi évoquées.
Une approche dynamique de la voirie ou de l’espace public permet de répondre à davantage de besoins dans un espace donné, ou d’améliorer les conditions de circulation d’une catégorie d’usagers à certains moments de la journée tout en gardant des conditions satisfaisantes pour les autres usagers. De plus en plus d’initiatives introduisent la temporalité dans la gestion de l’espace. C’est ainsi que la zone à trafic limité du centre de Malines offre un espace public accueillant pour les piétons, cyclistes et transports public en journée, tout en laissant l’accès automobile en soirée. Il en va de même pour les rues scolaires libérées du trafic automobile aux heures d’entrée et/ou de sortie des écoles. Sur les autoroutes, les spitsstroken ont fait leur apparition il y a une dizaine d’année, et permettent aux transports public et/ou aux covoitureurs de s’affranchir des files. Un bilan sera présenté. A Namur, un couloir bus dynamique (ouvert dans un sens le matin et dans l’autre sens l’après-midi) semble répondre aux attentes. Son évaluation et les perspectives sur d’autres voiries seront détaillés. Enfin, il sera question d’une passerelle cyclo-piétonne récente sur le canal de Bruxelles, dont la particularité est de rester praticable quel que soit le tirant d’air.
Visite guidée à vélo (22 km) le long de plus de 10 projets de pistes cyclables récemment réalisés ou en cours de réalisation dans la région de Louvain.
Construction routière durable (GPP, recyclage, économie circulaire, nouveaux matériaux durables, gestion durable de l'eau, infiltration, etc.) et mobilité durable (tarification routière intelligente, accessibilité, déplacements domicile-travail, utilisation du vélo, etc.). Énergie, climat et environnement (impact du CO2, production d'énergie le long des routes, émissions, particules fines, gestion du bruit, etc.)
La transition vers une économie circulaire est mise en avant dans tous les secteurs industriels-et donc aussi dans le secteur de la construction routière- comme objectif essentiel dans le cadre du « Green Deal » européen. Ces initiatives visent la transformation de l’UE en une économie moderne et concurrentielle dans un futur climatiquement neutre et soucieux de la préservation de ses ressources naturelles.Dans cette session, nous nous focaliserons en première partie sur les incentives mis en place par différents gestionnaires routiers régionaux dans le cadre d’une économie circulaire toujours plus verte, et nous porterons également notre attention sur le cadre normatif lié à la durabilité (« sustainability »).Dans un deuxième volet de cette session, les objectifs seront illustrés au moyen d’une série d’applications concrètes et/ou projets qui ont été réalisés au cours des dernières années. Ceci concerne en particulier des applications de recyclage, l’application de nouvelles techniques lors de la réutilisation de divers matériaux ou l’utilisation d’additions tels que les produits « réjuvénants » pour lesquels les cahiers de charges sont également abordés.
La transition vers une économie circulaire est mise en avant dans tous les secteurs industriels-et donc aussi dans le secteur de la construction routière- comme objectif essentiel dans le cadre du « Green Deal » européen. Ces initiatives visent la transformation de l’UE en une économie moderne et concurrentielle dans un futur climatiquement neutre et soucieux de la préservation de ses ressources naturelles.Dans cette session, nous nous focaliserons en première partie sur les incentives mis en place par différents gestionnaires routiers régionaux dans le cadre d’une économie circulaire toujours plus verte, et nous porterons également notre attention sur le cadre normatif lié à la durabilité (« sustainability »).Dans un deuxième volet de cette session, les objectifs seront illustrés au moyen d’une série d’applications concrètes et/ou projets qui ont été réalisés au cours des dernières années. Ceci concerne en particulier des applications de recyclage, l’application de nouvelles techniques lors de la réutilisation de divers matériaux ou l’utilisation d’additions tels que les produits « réjuvénants » pour lesquels les cahiers de charges sont également abordés.
Le changement climatique provoque des averses de plus en plus intenses dans notre pays, pour lesquelles les systèmes d'égouttage ne sont pas dimensionnés. Il en résulte des inondations de plus en plus fréquentes. L'infiltration des eaux permet d'une part de limiter ces phénomènes et d'autre part d'alimenter la nappe phréatique. Différents systèmes d'infiltration sont présentés, ainsi que les mesures à prendre pour assurer une bonne exécution et éviter le colmatage à long terme. Différents projets, y compris l'adaptation de la structure routière dans ce contexte, sont présentés.
Lorsque de nouveaux matériaux innovants et de nouvelles fonctionnalités sont développés, dans le cadre d’une infrastructure routière plus verte, plus fiable et plus intelligente, tant la recherche sur les matériaux que les essais réalisés en conditions réelles sont nécessaires afin de montrer que ces nouvelles solutions sont efficaces et sécuritaires avant qu’elles ne touchent un public plus large. Cette approche expérimentale de validation des innovations permet de les rendre plus sécuritaires, tout en maximisant leur impact positif par rapport au monde réel. Elle donne l’opportunité de déterminer la meilleure façon d’appliquer des idées et technologies nouvelles afin de résoudre les plus grands défis de la société. Elle permet également de définir un cadre dans lequel l’innovation peut être profitable pour les gouvernements, les entreprises et les citoyens. Dans ce contexte, différents projets récents ou en cours du secteur de la construction routière au sens large vont être présentés: sites-test, pilotes, démonstrateurs ou sections d’essais.
Instaurée déjà depuis dix ans aux Pays-Bas, sous le nom de « CO2-prestatieladder », l’échelle de performance CO2 se transpose en Belgique selon le même principe. Ce dispositif encourage les entreprises à s’engager à prendre des mesures ambitieuses permettant de réduire leurs émissions de CO2. Au plus les engagements sont importants sur cette échelle de performance (le niveau 5 correspondant au maximum des engagements), au plus l’offre devient avantageuse dans le cadre des marchés publics. Cette session met en lumière le fonctionnement de cette échelle de performance et présente des cas pratiques.
La conception et les appels d'offres durables prennent en compte les aspects économiques, écologiques et sociaux/éthiques. Les gouvernements accordent de plus en plus d'attention à la durabilité dans leur politique d'approvisionnement. Les achats responsables sont également une priorité en Europe depuis plusieurs années. Outre l'aspect environnemental (Green Public Procurement), l'aspect social a également fait l'objet d'une attention croissante ces dernières années. Ce workshop discutera des options et des outils que les pouvoirs adjudicateurs peuvent utiliser pour contribuer à des conceptions et des méthodologies d'approvisionnement durables.
Des objectifs ambitieux ont été défini par les Nations Unies afin de limiter le réchauffement climatique. Cela peut être réalisé, mais nécessite des efforts dans deux domaines importants : d'une part il faut minimiser la consommation d'energie et les émissions des gaz à effet de serre des installations en utilisant moins d'energie ou en utilisant plus efficacement; d'autre part, il faut investir dans des installations de production d'énergie renouvelable. Les autorités routières belges ont sous leur gestion de grandes quantités de terrains et d'infrastructures qui représentent un potentiel élevé pour des investissements dans les deux domaines. Dans cet atelier on va porter l'attention sur comment les autorités routières peuvent contribuer à atteindre leurs propres objectifs, mais aussi les objectifs mondiaux.
Pendant cette session, la mobilité durable et les modes de circulation durables seront abordés plus en détail. Comment stimuler la mobilité durable? Cette session sert à s'inspirer et à échanger de bons exemples.
Le bruit routier est souvent une source de nuisances pour les riverains. Différents projets innovants sont en cours afin de limiter ces nuisances. Cet atelier en aborde quelques-uns: - Les diffracteurs avec les résultats d'un dispositif d'essai. Un diffracteur est un dispositif composé de plusieurs fentes parallèles à la route et qui dévient le bruit vers le haut, ce qui réduit le niveau de l’exposition au bruit au niveau des habitations situées le long de la route. - Evaluation de la technique NGCS (Next Generation Concrete Surface) pour les revêtements en béton: NGCS est une combinaison de la mise en œuvre de rainures longitudinales et de meulage, permettant de diminuer le bruit de roulement de manière étonnante. - Intensité acoustique aux joints de pont: quelles sont les possibilités pour maintenir les bruits de battement aussi faibles que possible? - SOPRANOISE est un projet financé par CEDR qui a fourni des résultats intéressants concernant l'évaluation des performances acoustiques des murs anti-bruit
A la fois dans les villes et les campagnes, les infrastructures de communication ont de plus de plus une fonction paysagère et de biodiversité, en plus de la fonction de mobilité.
Elles font partie intégrante du cadre de vie des habitants et interagissent avec leur environnement alentour.
Cet atelier traitera donc de la prise en compte de la nature dans l’aménagement et l’entretien des voiries.
Visite guidée axée sur la gestion des actifs et les investissements dans le patrimoine autoroutier, tant sur les tronçons Bruxelles-Liège que Bruxelles-Hasselt, en mettant l'accent sur les projets réalisés ainsi que sur la vision et la planification pour l'avenir.
A la fois dans les villes et les campagnes, les infrastructures de communication ont de plus de plus une fonction paysagère et de biodiversité, en plus de la fonction de mobilité.
Elles font partie intégrante du cadre de vie des habitants et interagissent avec leur environnement alentour.
Cet atelier traitera donc de la prise en compte de la nature dans l’aménagement et l’entretien des voiries.
Sécurité sur les chantiers de construction, développement de la sécurité routière, application de la réglementation, transport de marchandises éco-compatible, autoroutes intelligentes et sûres, sécurité dans les villes et les communes, audits de sécurité routière, impact de la conduite automatisée, etc.
Pendant des travaux routiers, il faut trouvé un équilibre entre fluidité du trafic, sécurité routière pour les usagers de la route et sécurité pour les travailleurs de la route. Pendant cette session, les aspects de la sécurité routière et de la sécurité des travailleurs de la route sont discutés plus en détail. Comment les deux aspects...
L’approche Safe System implique l’amélioration de tous les éléments du système: routes et accotements, vitesse et structure des véhicules. L'idée sous-jacente est que si une partie du système de sécurité «est défaillante» (par exemple, si les conducteurs commettent une erreur), d'autres éléments continueront à protéger les personnes impliquées (par exemple, l'infrastructure routière «qui pardonne»). L'accent est mis sur des solutions infrastructurelles, de la conception sûre pour tous aux technologies clés émergentes.
Focus sur les problèmes de sécurité. Une introduction sera donné (comprenant une clarification des définitions et un aperçu de la littérature sur l'effet sur la sécurité routière). Les effets seront abordés sous différents angles (du type d'infrastructure ou d'environnement routier, des différentes parties prenantes, du triangle facteurs humains, véhicules et infrastructures). La pratique des tests est également abordée.
Les usagers actifs jouent un rôle de plus en plus important dans la mobilité quotidienne en zone urbaine. Si la part modale des piétons et cyclistes évolue, notamment grâce aux nouvelles infrastructures mises en place qui leur offre une place de plus en plus importante, le nombre d’accidents impliquant les modes actifs augmente également. En effet les données d’accidents collectées en 2019 en Belgique (source : Statbel) montre une augmentation de 6,7% du nombre de cyclistes tués dans les 30 jours, ce chiffre passant même à 24,3% pour les piétons Suivant plusieurs sources et études, les facteurs humains sont concernés dans les accidents de la circulation (directement ou indirectement) dans plus de 90 % des cas. De plus, 26 % des accidents sont dus à une rupture d’équilibre entre les facteurs humains et l’environnement routier. Il est dès lors indispensable d’étudier le comportement des piétons mais également des cyclistes dans une infrastructure routière donnée d’une part pour mieux comprendre ou cerner les causes et facteurs qui peuvent conduire à l’accident et d’autre part pour proposer des solutions adaptées. Cette session a pour objectif de présenter différentes études et recherches se focalisant sur l’analyse du comportement des usagers actifs au moyen d’observations de terrain, d’enquêtes menées auprès des usagers, …
Cette session apporte des contributions intéressantes liées aux aspects environnementaux et aux nouvelles exigences performantielles des marquages: les premiers essais avec des marquages luminescents en Belgique, une nouvelle norme pour mesurer les qualités acoustiques des marquages en relief et les exigences en matière de visibilité posées aux marquages par les CAV (Connected and Automated Vehicles).
Pendant des travaux routiers, il faut trouvé un équilibre entre fluidité du trafic, sécurité routière pour les usagers de la route et sécurité pour les travailleurs de la route. Pendant cette session, les aspects de la sécurité routière et de la sécurité des travailleurs de la route sont discutés plus en détail. Comment les deux aspects peuvent-ils être traités, quelles sont les meilleures pratiques, etc...
Dans le cadre d’un projet-pilote supervisé par le Gouvernement wallon, le SPW Mobilité et Infrastructures délivre des autorisations qui permettent aux véhicules plus longs et plus lourds d’emprunter le réseau routier et autoroutier régional pour transporter des marchandises. Cette autorisation fixe, entre autres, les itinéraires de ces convois afin de préserver les infrastructures et assurer la sécurité routière et la mobilité. Les véhicules plus longs et plus lourds (VLL ou écocombis) sont des combinaisons de véhicules qui peuvent mesurer jusqu’à 25m25 de long (au lieu de 18m75) et avoir une masse totale jusqu'à 60 tonnes (au lieu de 44 tonnes maximum). Ces combinaisons sont composées de trois véhicules avec deux centres de giration.
Directive 2019/1936 relative à la gestion de la sécurité des Infrastructures routières, transposition dans les différentes régions et perspectives.
Echanges entre les trois régions sur les audits, leur impact sur la qualité des projets et le ressenti des bureaux d’étude.
La sécurité des tunnels dépend de l'usager de la route, de l'infrastructure et de l'organisation en matière de management du trafic et des services de secours. Tout cela se répercute les uns sur les autres et sur la sécurité globale. Au cours de cette session, différents aspects de la sécurité des tunnels seront discutés par différentes organisations.
Le maintien du trafic est le dernier élément de la politique de sécurité routière. Dans cette session, nous voulons approfondir les différentes applications et instruments d'exécution (automatique). Qu'est-ce qui existe, comment peut-il être appliqué ou utilisé, quel est l'effet...
Plusieurs villes généralisent le 30 km/heure sur leur territoire. On verra comment cela est mis en œuvre et quels sont les premiers enseignements, notamment au niveau de la sécurité.
Ces dernières années, on dénombre de plus en plus des attaques terroristes en milieux ouverts (rues, places, …). Si la menace en elle-même reste être difficile à déterminer avec précision, elle peut tout de même être estimée en fonction de critères issus des recoupages statistiques ou d’évaluations théoriques / mathématiques ou des projections. Cette session a pour but de parler des projets d’aménagement mis en place ou qui seront mis en place dans les espaces publics afin d’assurer la protection des populations contre les attaques terroristes. Plusieurs types de menaces existent, mais dans cette session, on se limitera uniquement à celles relatives aux attaques perpétrées à l’aide des véhicules béliers. 4 présentations seront prévues au programme de cette session.
Imec est un centre de recherche de renommée mondiale dans le domaine de la nanoélectronique et de la technologie numérique. Ils soutiennent les entreprises et les gouvernements dans leurs innovations durables. Au cours de cette visite, vous pourrez jeter un coup d'œil en coulisses, explorer les salles blanches et les laboratoires, et en apprendre davantage sur les technologies de demain.
Gestion durable des routes, tunnels, pistes cyclables et trottoirs (systèmes AM pour les gestionnaires de routes, les villes et les communes), déploiement de l'IA et des Big Data pour la gestion des actifs, véhicules de mesure de haute technologie, gestion des données, BIM, infrastructure numérique et stratégie de maintenance.
Des technologies modernes s'apprêtent bientôt à l'auscultation de la condition de routes. Nouvelles techniques spécialement conçues pour l'évaluation de la condition de routes peuvent mesurer sans gène au trafic, ont un grand rendement et collectent une enorme quantité de données. Des capteurs simples qui sont déjà utilisés pour d'autres applications, peuvent être exploités pour une observation de la condition routière à grande échelle.
La gestion des infrastructures routières est en train de changer considérablement ces dix dernières années, principalement à cause d'une exploitation sans cesse croissante mais aussi de l'évolution des attentes de ses utilisateurs. Les inondations de l'été 2021 ont fait émerger une plus grande prise de conscience environnementale (changement climatique, durabilité,...), ce qui aura un impact sur les choix opérés. Les nouvelles technologies semblent être une voie intéressante à suivre pour aider le secteur de la route dans ces prises de décision, en particulier l'utilisation des données 'Big Data' - 'Data Lake', mais cela soulève de nombreuses questions : quelle valeur ajoutée ces données offrent-elles ? Quel est le niveau de maturité de cette technologie ? Quels sont les standards préconisés ? Nos trois orateurs aborderont plusieurs Use Cases, à l'échelle de la Belgique et de l'Europe, qui permettront de mieux appréhender le 'Big Data' et de proposer plusieurs pistes intéressantes à explorer.
La mise en pratique du travail orienté BIM pendant la phase d'étude ou de mise en œuvre nécessite une approche légèrement différente. Comment abordez-vous cela en tant que bureau d'étude, entrepreneur ou agence gouvernementale? Comment avons-nous démarré avec les logiciels OTL et/ou BIM au cours des projets? Quels outils BIM et OTL sont disponibles pour commencer ou quelles intégrations plus avancées dans votre paysage numérique et vos solutions ICT sont possibles? Quelques questions auxquelles nous essayons de répondre dans cette session, en partageant les leçons apprises de certains projets.
L'importance d'un fond de carte à jour et précis pour les travaux routiers et souterrains.
La synergie est recherchée à travers le GIPOD pour les prises d'eau du domaine public (par exemple pour les travaux routiers). On cherche ainsi à limiter les nuisances pour les riverains et les commerçants. Mais, saviez-vous aussi que l'attribution de primes aux commerçants qui peuvent s'attendre à une baisse du chiffre d'affaires suite à des travaux est également basée sur des données que l'on peut retrouver dans le GIPOD ?
Lors du travail (excavation) dans le sous-sol, l'intention est d'éviter les dommages d'excavation et les dommages consécutifs. Le KLIP rassemble toutes les informations utiles des différents gestionnaires afin qu'un opérateur puisse prendre en compte l'infrastructure souterraine existante de câbles et de canalisations.
Tant le GIPOD que le KLIP utilisent avec gratitude les données exactes et à jour fournies par la Carte de base de la Flandre. Pensez aux bâtiments, aux routes, aux voies navigables,… mais aussi aux informations sur les plaques d'égout, les poteaux d'éclairage, les bordures, etc. construit qui peut être utilisé dans la construction de routes flamandes.
Le dimensionnement d'une route consiste en premier lieu du choix de genre et type de revêtement, de fondation et de sousfondation. Des matériaux nouveaux existent qui sont plus durable que les matériaux traditionnels, comme par exemple les ‘Revêtements semi-durs’ et les fondations en’ bitume mousse’. En deuxième lieu il faut alors déterminer les épaisseurs de cettes couches nécessaire pour supporter le traffic attendu. Des programmmes de calcul spécialisés existent pour cela. Qualidim qui a été developpé par le CRR et qui sera bientôt disponible en une version adaptée est présenté.
L'exploitation électronique des données des produits sera facilité par la numérisation des bons de livraisons et de fiches de produits. La digitalisation des données permettra le partage de données et l'utilisation de l'information à des fins différentes tout au long le cycle de vie des produits.
Traditionnellement, des véhicules de mesure spéciaux sont utilisés pour mesurer l'état des actifs. En outre, de plus en plus d'applications voient le jour qui appliquent l'intelligence artificielle au (big) data, telles que l'utilisation de la reconnaissance d'images ou le traitement des données des smartphones. Cette session expliquera un certain nombre de ces développements.
Cette session traite des systèmes, des modèles et des techniques qui peuvent être utilisés pour gérer les actifs. La gestion des chaussées (PMS), des ouvrages d'art (tunnels) et des égouts seront abordés. De nouvelles méthodologies seront également présentées, telles que la manière dont BIM peut être utilisé dans un système de gestion d'actifs.
Trouver les bonnes stratégies de maintenance impliquant de difficiles arbitrages est la difficile tache qui attend le gestionnaire pour assurer la pérennisation des infrastructures dans le temps. Cette session présentera différentes stratégies avec analyses multi-critères appliqués aux routes, ponts, équipements, … Il y sera abordé aussi la manière dont une plateforme d'intégration peut venir en appui aux processus d'inspection et de maintenance.
Le recueil et l'analyse de données sont devenus primordiaux au sein des administrations gestionnaires de routes. Inventaires, inspections, état ou performance des actifs routiers donnent lieu à autant de données à collecter, structurer et exploiter pour rencontrer ses objectifs stratégiques et opérationnels. Cette session s'intéresse à différentes manières dont les données viennent en appui aux objectifs économiques de résilience des réseaux routiers ou aux objectifs environnementaux tels que la réduction du bruit.
Faisant face à des tunnels vieillissants nécessitant des investissements importants et à des cadres budgétaires restreints, les gestionnaires publics belges sont amenés à établir des stratégies de maintenance et de rénovation devant permettre de maintenir les ouvrages en service tout en lissant la charge budgétaire nécessaire sur leurs cycles de vie. Les conséquences pratiques des stratégies mises en place seront illustrées dans deux domaines : le renouvellement de l'éclairage des tunnels et la gestion de leurs structures de génie civil de gros oeuvre.
Les piétons et cyclistes doivent pouvoir disposer respectivement de trottoirs et d’aménagements cyclables de qualité. On abordera spécifiquement pour ces infrastructures, les méthodes d’audit et les outils qui se développent ainsi que la manière d’élaborer les programmes de rénovation.
Les piétons et cyclistes doivent pouvoir disposer respectivement de trottoirs et d’aménagements cyclables de qualité. On abordera spécifiquement pour ces infrastructures, les méthodes d’audit et les outils qui se développent ainsi que la manière d’élaborer les programmes de rénovation.
Explication détaillée du projet de viaduc de Wilsele et de voies de circulation aux heures de pointe de Wilsele, avec une attention particulière pour les barrières de sécurité dont les pièces de rechange seront également visibles (stockées dans le quartier de Bertem afin de pouvoir être remplacées rapidement en cas de collision).
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